« Après s’être assuré de sa réélection dès le premier tour en mars 2021, le président béninois Patrice Talon a entrepris d’achever la démocratie dans son pays à coups de canif dans les libertés individuelles et collectives ainsi que la condamnation à de lourdes peines de ses adversaires politiques », lit-on dans un article particulièrement critique envers le chef de l’État du Bénin. Il est évident que dans ce pays, les adversaires du régime en place n’ont d’autre choix que de faire profil bas en attendant de jours meilleurs. L’opposante Reckya Madougou purge une peine de vingt (20)) ans de prison pour ‘’financement du terrorisme’’.
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