Les sanctions de la CEDEAO contre le Burkina Faso, la Guinée et le Mali sont reconduites à l’issue d’une réunion parallèle tenue par l’organisation communautaire ouest-africaine en marge du sommet de l’Union africaine (UA) la semaine dernière à Addis-Abeba. Par cet acte, la CEDEAO entend rester ferme sur sa position : ‘’la tolérance Zéro’’ par rapport à la prise du pouvoir par la force sur le continent. C’est bien, mais ce principe doit aussi s’appliquer contre ‘’la trituration des textes ou la violation de la légalité’’, estime Dr. Souley Adji.
Soutenir une presse indépendante de plus de 24 ans d'existence
Ce contenu est réservé aux abonnés, souscrivez pour continuer la lecture.