Comment intégrer à la fonction publique des dizaines de milliers d’agents au profit d’un secteur comme l’enseignement dont les besoins (quantitatifs et qualitatifs) en personnel montent en flèche d’année en année ? Très vite, Bazoum Mohamed a posé l’équation. Il lui reste à trouver la (ou les) solution (s) dans les mois à venir. La réforme de l’enseignement public est tout en haut de la liste des priorités du président de la République, lequel en a fait une ‘’affaire personnelle’’, pour ainsi dire. « Si je considère le défi de l’éducation comme notre plus grand défi, c’est parce que je sais que le faible taux de scolarité et le taux élevé des échecs scolaires ont pour effet de priver des contingents très nombreux d’enfants et de jeunes de réelle chance d’éducation », a souligné Bazoum Mohamed le jour de son investiture. Et d’ajouter : « Je ferai de l’éducation un domaine dont je m’occuperai personnellement autant que je m’occuperai de la sécurité ».
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