On ne peut nier l’évidence, à moins d’être de mauvaise foi. Il apparaît très clairement avec la visite d’Antony Blinken au Niger que les orientations stratégiques opérées par Mohamed Bazoum se sont révélées au plan diplomatique très payantes. Par cette visite de travail, le Secrétaire d’Etat américan entend signifier que l’Amérique prend pied non seulement au Niger, mais aussi dans tout le Sahel. Et ce n’est qu’un début. Nous avons eu vent que d’autres éminentes personnalités américaines comme le Secrétaire d’Etat à la Défense, Lloyd Austin, ne tarderont pas à lui emboîter le pas. L’épopée est appelée à se poursuivre, avec comme point d’orgue l’arrivée du président de la Banque mondiale.
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